Nos activités passées (conférences, mâchon, etc...)
Les articles suivants :
L'accent Lyonnais
Extrait de l'article :
Bien qu'aujourd'hui il ait souvent disparu même chez les Lyonnais de
pure souche, il existe un accent lyonnais qui fait reconnaître un
bon Lyonnais, car, selon Mgr Lavarenne (Nous autres les gones,
p.21), « ce que nous pouvons garder, ce que nous gardons forcément,
même quand nous tâchons de nous défaire de nos défauts de
prononciation pour faire plaisir aux Parisiens, c'est notre accent… ».
Comme nos voisins de Suisse Romande, nous avons une
intonation lente et légèrement chantante. Cela nous viens bien sûr
de notre « substrat dialectal », c'est-à-dire de l'ancienne langue
parlée autrefois à Lyon, le patois francoprovençal […] écrit par Anne-Marie VURPAS
La Mère Cottivet (1re partie)
Extrait de l'article :
Le samedi 18 décembre 1971 s'éteint la voix de la plus célèbre des
pipelettes lyonnaises : la Mère Cottivet. Pourtant, le lendemain, le
dimanche 19, grâce à la magie de l'enregistrement, celle-ci est
encore présente sur les ondes. Hélas, ce sera la dernière chronique
et le dernier au revoir de notre concierge au bâtillon bien pendu,
qu'elle adressera à tous les gones qui l'écoutaient à la T.S.F. sur
les ondes de Radio-Lyon.
Au terme de son rendez-vous dominical elle termine
son patrigot par sa célèbre phrase devenue légendaire, qu'elle dédie
à ses chers z'auditeurs : « et à dimanche que vient, mes Belins,
Belines ! » […] synthèse de Gérard TRUCHET
Fortifications Lyonnaises : le système ROHAULT de FLEURY 1874-1893 (3e partie)
Extrait de l'article :
Un précédent article consacré à la fortification de la place de Lyon
au 19e siècle a présenté les ouvrages construits de 1831
à 1860 environ par le Maréchal de camp, puis Lieutenant-général,
Rohault de Fleury, directeur des fortifications de Lyon. Ce système
fortifié plein d'innovations fut pourtant rendu obsolète par les
progrès spectaculaires de l'artillerie dès la révolution
industrielle du milieu du siècle.
Après la guerre franco-prussienne de 1870-71, et la
chute du Second Empire, ke nouveau gouvernement de la France
s'emploie à libérer le territoire de l'occupation. C'est chose faite
en septembre 1873, il peut donc consacrer ses efforts au réarmement
de la France. L'étude des causes de la défaite […] écrit par par le Colonel d'artillerie (ER) Roger BONIJOLY
Gerson
Extrait de l'article :
Lorsqu'on
se promène dans le quartier Saint-Paul on rencontre trois rappels de
ce personnage. D'abord la place qui porte son nom, puis le groupe
scolaire « Gerson » et aussi une statue (sensée le représenter)
nichée dans une des arcades dite « de la SNCF » (en face du portail
de Saint-Paul).
Depuis peu cette statue a été restaurée par les soins
de la Ville et une stèle indique aux passants : « Jean Gerson
chancelier de l'Université de Paris. Il termina sa vie dans le
cloître de l'église Saint-Paul où il enseignait la religion aux
enfants du quartier ».
Plus personne ne peut l'ignorer ! I - La vie et les combats de Gerson
Quelle destinée pour ce petit garçon né le 14
décembre 1363 dans un hameau (dont il prendra le nom) du village de
Barby près de Rethel (Ardennes). […] écrit par Max BOBICHON