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Bulletin n° 242
Novembre 2007

 

Le bulletin présente en plus des rubriques traditionnelles :

Le Billet du Président
Ohé ! Les gones …
Nos activités passées (conférences, mâchon, etc...)

Les articles suivants :

Un séjour à Chignolo Po


Extrait de l'article :
 

Nous nous sommes rendus le 4e week-end de septembre en Italie à Chignolo Po sur l'invitation de la municipalité et de l'association Peppino Sarina. Ces deux journées exceptionnelles, riches d'échanges culturels, doivent être portées à votre connaissance.
Un peu d'histoire :
Dès la fin du XIXe et au début du XXe siècle, de nombreux historiens se sont penchés sur l'histoire de notre marionnette Guignol. Le précurseur de ces enquêtes, de ces témoignages n'est autre que Jean-Baptiste Onofrio. Ce magistrat, passionné du théâtre Guignol a publié pour la toute première fois les pièces du répertoire de Guignol en 1865. Sa préface, richement agrémentée, réserve un chapitre sur l'origine du nom de Guignol. Même si les propositions avancées par Onofrio restent des suppositions, elles ont le mérite d'exister et de servir aujourd'hui de références. Voici, entre autre, ce qu'il pense du nom de Guignol :
« Il y a en Lombardie une petite ville nommée Chignolo et je me suis souvent demandé s'il n'avait pas existé jadis à Lyon un artisan, un ouvrier en soie, […]
écrit par Gérard TRUCHET

L'histoire d'une rivière : La Rize (2e partie)


Extrait de l'article :
 

Nous voici arrivés rue de la Rize. Rue Paul Bert, à la hauteur de la place Renaudel, au croisement de l'illustre rue de la Rize, notre rivière se divise, dans les temps anciens, en deux bras. Celui du nord remonte vers l'angle formé par les rues de la Part-Dieu et Boileau où existait une butte naturelle. La Rize l'enveloppe par le nord, puis par l'ouest, borde la rue Moncey et atteint la rue Villeroy à la hauteur du groupe scolaire Paul Painlevé et rejoint le Rhône un peu en aval du pont de la Guillotière.
Le 2ème bras, celui qui nous intéresse, suit la rue de la Rize, tourne à angle droit vers le sud place des Martyrs de la Résistance, traverse la rue des Rancy proche de la rue de la Villardière, arrive à l'extrémité de la rue Villeroy, près de l'ancien château Saint-Amour construit au XVIe siècle et appartenant à la famille Rachais. La rue Saint-Amour est tracée, en 1842, sur le domaine dépendant autrefois du château. En ce lieu, la Rize passe sous un pont puis file vers la place de l'Abondance, devenue depuis 1934 la place Aristide Briand, sur laquelle un îlot de verdure abrite la statue élevée à la mémoire de l'inventeur de la machine à coudre Barthélemy Thimonnier inaugurée en 1931.
Elle passe à quelques mètres du célèbre château de la Rize visible 76 […]
écrit par Gérard TRUCHET

A propos de Jeanne Esterle épouse Mourguet


Extrait de l'article :
 

Le 24 septembre 1933 la Mairie de Sainte-Foy-lès-Lyon inaugurait une plaque en l'honneur de Jeanne Esterle, épouse de Laurent Mourguet, native de cette commune. La plaque est apposée dans la Mairie de Sainte-Foy. Cette plaque a été déplacée lors de la création de la salle Jeanne Mourguet le 8 décembre 1987 où elle est actuellement
Un problème de généalogie subsistait quant à la personne honorée par la Ville de Sainte-Foy-lès-Lyon. Vous trouverez ci-dessous le résultat des travaux de l'atelier de généalogie de l'Office Fidésien Tout Age, qui lève le voile sur une énigme de l'histoire de la famille Mourguet. Que cette équipe soit vivement remerciée pour leurs recherches.
A la recherche de Jeanne désespérément…
Un groupe de généalogistes appartenant à l'atelier de généalogie de l'OFTA (Office Fidésien Tout Age) décide en réunion de travail de faire l'arbre généalogique de Jeanne Esterle […]
écrit par Sylvette DECHANDON et l'équipe de l'OFTA

Le thermomètre de Lyon


Extrait de l'article :
 

La température est une grandeur non mesurable, difficile à appréhender et qui était très équivoque avant qu'une mesure précise devienne possible. La notion de chaud, de froid, de bien-être ou de mal-être était très floue par absence de références à quelque chose de précis et de tangible.
De très nombreux savants s'intéressèrent à cette question, et tentèrent d'établir « le thermomètre universel ».
Tout le monde se souvient de Fahrenheit qui inventa le thermomètre à mercure en 1717, de Réaumur qui inventa le thermomètre à l'esprit de vin en 1730 et de Celsius qui inventa le thermomètre à mercure centigrade à échelle descendante (100 à 0) en 1742.
En revanche, connaît-on Jean-Pierre Christin qui, assisté par Pierre Casati, créa le « Thermomètre de Lyon », thermomètre à mercure centigrade à échelle ascendante (0 à 100), qui n'est autre que le thermomètre en vigueur aujourd'hui, même si en octobre 1948 la Conférence Générale des poids et mesures donna le nom de degré Celsius à sa graduation ?
Jean-Pierre Christin né le 3 mai 1683 à Lyon […]
écrit par Guy VALARCHER

et quelques autres…

 


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